« Mélenchon = Le pen » dans Les Échos (01/05/13)

« Le PS et l’UMP confrontés à leurs extrêmes » – extrait d’un article paru le 1er mai, d’Elsa Freyssenet, chef de service adjointe au journal Les Échos :

« Le FN a défilé hier à Paris et le Front de gauche manifestera dimanche.
Ils contribuent, de façon différente, à l’érosion électorale du PS et de l’UMP.
Ils battent le pavé parisien à quelques jours d’intervalle. Marine Le Pen hier avec ses traditionnels défilé et discours du 1er Mai. Jean-Luc Mélenchon, dimanche, pour sa manifestation « grand coup de balai » décidée en pleine affaire Cahuzac. Leurs doctrines sont opposées et leurs parcours politiques suivent des cheminements inverses. La présidente du Front national, qui cherche à rendre son parti fréquentable, prône désormais la « priorité nationale » plutôt que la « préférence nationale », mais son projet est toujours fondé sur la discrimination entre Français et immigrés. Le coprésident du Front de gauche s’appuie, lui, sur une philosophie égalitariste. Ex-socialiste, Jean-Luc Mélenchon a radicalisé son discours dans l’espoir d’apparaître comme une alternative au PS, à gauche. Marine Le Pen souhaiterait, elle, apparaître comme une alternative à l’UMP, mais, pour cela, elle a lissé ses propos. L’un et l’autre ont pourtant au moins un point commun : ils constituent une véritable épine dans le pied du PS et de l’UMP, qui peinent à trouver la parade. »

***

Voir quelques « Mélenchon = Le Pen » et un « Mélenchon = Hitler » dans Les Échos : http://opiam2012.wordpress.com/category/4-presse-ecrite/les-echos/

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14 réponses à « Mélenchon = Le pen » dans Les Échos (01/05/13)

  1. brassus dit :

    En quoi l’article reproduit ici est « de la propagande et des inepties anti-Mélenchon » ? Le Pen et Mélanchon ont bien le même positionnement vis à vis des partis qui leurs sont proches, l’UMP et le PS : les affaiblir à leurs profits ! Le problème c’est que pour y arriver ils « chassent » sur les mêmes terres, les classes populaires, d’où l’impression qu’ils utilisent la même recette : le populisme. Mélanchon s’en défend, mais il semble évident que tout le monde n’est pas de son avis.

    • O.P.I.A.M. dit :

      Ne vous sentez-vous pas un peu comme un perroquet répétant les mêmes inepties que mille et mille autres ? N’avez-vous pas honte d’être un perroquet ? Êtes-vous fier ?

      Sur le populisme : http://www.dailymotion.com/video/xjr5nf_zapping-melenchon-populisme_news#.UYt8p0phrfg

      • brassus dit :

        A partit du moment où on n’émet pas une opinion originale on est un perroquet, vous en êtes donc un aussi. La question est de savoir si les « mille et mille autres » qui sont de mon avis sont plus nombreux que les « mile et mile autres » qui sont du votre. Et là je crains que vous ne soyez minoritaire.
        De plus, qu’est-ce qui est plus grave, être un perroquet ou un amnésique comme certains militants de SUD qui, je crois, vous sont proches alors qu’en 2002 ils parlaient de Mélanchon en ces termes : Lycée des Métiers, Le Medef en rêvait… Mélenchon l’a fait !
        http://www.sudeducation.org/10-pages-Lycee-des-Metiers.html
        Qu’est-ce qui est plus grave, être un perroquet ou un muet comme Mélanchon sur les résultats de l’élection au Vénézuéla, aucun billet sur son blog alors qu’il y en avait un de quasi victoire avant l’élection.
        Quant à ma honte et ma fièreté, je vous prie de ne pas vous en préoccuper.

        • O.P.I.A.M. dit :

          Ah oui là vous avez raison, votre « opinion » n’est pas originale. Ce n’est même pas une opinion : vous n’avez pas d’avis, vous vous contentez de répéter. Vous ne pensez pas ; vous utilisez la pensée. Quant à moi, je ne prétends pas être original. Vous ne vous rendez pas compte que vous avez la prétention d’être original : selon vous les autres se font berner, mais à vous, on-ne-vous-la-fait-pas, car vous êtes lucide, vous, vous n’êtes pas victime du populisme de Mélenchon. Bref, vous êtes original, car vous ne faites pas partie du peuple qui se fait piéger par « les populistes », vous. Et MélEnchon s’écrit avec un E.

      • brassus dit :

        Hé, un peu de Lexomil vous ferra du bien.

  2. Moi même dit :

    Mêmê ne vous le diras jamais, mais …

    Les partis qui se séparent de leur extrêmes seront ils, in fine, ceux qui seront élus ?
    L’incompréhension des partis qui refusent le pouvoir mais adhèrent à ceux qui le veulent est un boulet électoral.
    Que ceux qui ne veulent pas de pouvoir politique aillent militer dans une activité sociale plutôt que de noyauter un parti, tout en croyant lui faire du bien, alors que sa « culture » internationale est à vomir.
    Avoir une histoire politique internationale aussi horible et continuer de vouloir conserver un nom de parti, reviendrai à dire que les nazis on de l’avenir dans ce monde ?

    Mêmê ne vous le diras jamais, l’électeur, les lecteurs et les lectrices peut être ….

    Asta ….

  3. ZapPow dit :

    Deux choses agaçantes ici :
    1) cette manie de ne pas savoir parler de l’un sans parler en même temps de l’autre.
    2) cette manie de classer le FDG à l’extrême-gauche, alors que sa composante principale, le PCF, ne l’a jamais été. Comment diable va-t-on qualifier ceux qui sont à la gauche du FDG ? L’extrémissime-gauche ?

    En dehors de ces deux agaçantes et déplorables manies, rien à redire à cet article, qui, s’il cède au travers d’accoler les deux parties (partis ?) montre quand même bien les différences entre FN et FDG, entre MLP et JLM.

  4. Chat dit :

    Bonjour,

    Je tombe par hasard sur ce site et suis très étonné de son contenu et à la fois de la façon dont il traite les personnes laissant des commentaires et les journalistes.
    Tout d’abord je suis choqué des réponse que vous faites à « brassus ». En effet au lieu de répondre à ses questions vous vous contentez de l’insulter en le traitant de perroquet. On sait quelles conséquences à l’animalisation de l’autre.
    Ensuite la radicalisation du discours d’une journaliste en passant de Le Pen à Hitler est aussi un moyen rhétorique plus que douteux. Ce d’autant plus que la journaliste en question établis n’ont pas une égalité entre Le Pen et Melenchon mais justement les différencie sur le fond : « Leurs doctrines sont opposées et leurs parcours politiques suivent des cheminements inverses. La présidente du Front national, qui cherche à rendre son parti fréquentable, prône désormais la « priorité nationale » plutôt que la « préférence nationale », mais son projet est toujours fondé sur la discrimination entre Français et immigrés. Le coprésident du Front de gauche s’appuie, lui, sur une philosophie égalitariste ».

    Dommage votre action aurait pu être intéressante mais elle se révèle juste partisane et insultante, si c’est cela votre définition de ce que doit être la politique je pense que malheureusement vous nuisez à la cause que vous prétendez défendre.

    • O.P.I.A.M. dit :

      vous avez raison. lisez donc les articles plus récents. quelle(s) cause(s) défendez-vous, vous ?

      • chat dit :

        Encore un argument rhétorique douteux : je vous parle d’un article et vous me répondez à propos d’autres articles « plus récents ». Et en l’occurrence et pour répondre à votre question je ne défend d’autre cause que de la possibilité du débat en politique. Et donc du respect de l’autre et d’un certain rapport à la réalité qui consiste à ne pas dire qu’une journaliste associe Le Pen à Melenchon en se basant uniquement sur le titre de l’article, alors qu’elle fait au contraire une différence très nette entre les deux dans le corps de l’article.
        Mais il ressort de votre réponse que le soupçon semble plus pertinent que le débat.

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