Le 3 mars 2015, le journaliste Jean Quatremer écrivait dans Libération (« Allemagne, la mal-aimée de l’Europe ») :
« […] le Conseil des ministres et la Commission sont noyautés par des haut-fonctionnaires allemands, faute pour Paris d’avoir su y placer ses hommes. Un exemple ? Selon notre comptabilité, les Allemands comptent 9 chefs et adjoints de cabinet chez les 28 commissaires européens, contre 3 Français. »
Le 12 mars 2018, le journaliste a recommencé, dans « Selmayrgate: le Parlement pilonne la Commission » :
« Face à ce déluge, Oettinger en a été réduit à lamentablement dénoncer un complot anti-allemand, Selmayr, déclenchant l’hilarité des députés y compris Allemand… Il fallait en effet oser quand on connait le (sur)poids des Allemands dans les institutions bruxelloises. »