Là encore, Libération ne dénonce pas des propos « inacceptables ».
À la suite de ses propos, aucun journaliste n’a traité Manuel Valls de populiste, de démagogue, d’extrémiste ou d’extrême. Aucun journaliste ne l’a assimilé à Le Pen, à Staline, à Hitler, ou à un fasciste hostile à la liberté de la presse, etc. Aucun journaliste n’a dénoncé une « posture » ni une « sortie ».
Il va de soi que si c’était Mélenchon qui avait déclaré être allergique aux journaliste, il aurait eu droit à traitement tout aussi impartial, neutre, objectif et respectueux. Il faut faire confiance aux journalistes ; en effet, n’étant membre d’aucun parti, ils ne peuvent par conséquent être des militants politiques.
moi , ils me filent des boutons ces valets du 4ème pouvoir!
Bientôt Mélenchon sera astreint à l’isolement en chambre stérile quand il éternuera, on le dira porteur d’Ebola.